NE BAIssER PAS LES BRAS.

Mon Diagnostic ''cancer du sein'' remonte à 2007, passant par la chimiothérapie et mastectomie.

Je connais....

Je connais, je connais même très bien la phase de perte de cheveux...rien à mettre sur la tête.Surmenée par cette situation n'ayant pas la force pour chercher les différents foulards qui se marient avec ma garde-robe, j'ai décidé de changer cela.

Étant artiste depuis l'enfance , j'ai décidé de prendre ma propre expérience en objectif et d'aider d'autres femmes dans mon cas.

Je me suis lancée dans le design de foulards et bonnets,de qualité, agréables,de grand confort pour votre tête et cuir chevelu .

Aujourd’hui, j'ai diverses collections, je travaille sur mesure ainsi qu' au besoin de chacune avec des matières légères et souples, des coloris et des motifs resplendissants.

 

STEFFI WILKIN ST-DESIGN  0317.JPG

Donc n'hésitez pas à me contacter ,nous trouverons ensemble dans une atmosphère conviviale votre accessoire de mode idéal pour votre parcours.

Un grand choix  vous permettra de changer de style aussi souvent que vous désirez pendant votre traitement et la perte de cheveux,

pour rester belle et féminine et surtout ne pas baisser les bras.

Mon objectif est celui de vous donner du courage car....

Je connais....

 

Stephanie Wilkin

lien vers mon site, cliquez: www.st-design-thomm.de

 

 

Ich heiße Elke Reinemann-Schmitt und bin 2014 an Brustkrebs erkrankt.

 

Es war ein großer Schock zweifelsohne.  Aber was mir am meisten geholfen hat durch diese Zeit zu gehen, war mein Leben in weitgehender Normalität wie vor der Krankheit fortzuführen.  Natürlich war ich krankgeschrieben und konnte nicht arbeiten gehen. Ich habe mir meine Zeit "vertrieben" mit all den Dingen, die mir vor der Diagnose auch wichtig waren. Kontakte mit Freunden und Bekannten zu pflegen, mich in der Natur zu freuen und vor allem zu fotografieren.

 

Die Fotografie ist seit vielen Jahren meine große Leidenschaft und hat mir in dieser schwierigen Zeit Kraft gegeben. Ich bezeichne mich als engagierter Hobby-Fotograf. Die Fotos, die sie hier sehen,  sind 2014/15 entstanden - zum Teil an der Mosel, zum Teil als Collage am PC.

 

Vielleicht möchten Sie einen dieser Momente Ihrer Erkrankung als Foto festzuhalten (denn auch ohne Haare ist die Frau schön), so biete ich Ihnen an mit mir einen Termin zu vereinbaren. Ich versichere, dass ich gerade durch meine eigene Geschichte, aber auch durch mein Wesen, Ihnen einfühlsam und verständnisvoll entgegentrete.

 

Herzlich

 

Portrait_Elke.jpg

Elke Reinemann-Schmitt

Mobil 0049 160 97828317

 

MES Décisions,mes choix, ma vie.

En mars 2014, j’ai été opéré d’un mélanome que j’avais détecté moi-même à un stade tellement tôt que la question de chimio ou de radiothérapie ne se posait pas. Ce choc fut vite digéré , mis entre parenthèse, et ma vie continuait : famille, fêtes, amis, travail et sport.

Rendez-vous en mammographie en novembre 2014, sur invitation du« Programme Mammographie », organisé par le Ministère de la Santé. 

Ma tante maternelle ayant eu un cancer du sein, depuis quatorze ans déjà,  je passais tous les ans en mammographie , donc pour moi plutôt une habitude annuelle et aucune inquiétude.

En 2013, une mammo avait déjà été réalisée et elle ne montrait pas d’anomalie.

Hélas en novembre 2014, alerte,  le résultat montrait une nouvelle formation de micro calcifications.

Les deux radiologues , le mien depuis quatorze ans et celui du Ministère de la Santé,se sont vite mis d’accord pour faire une biopsie sur « Prone table » : 11 échantillons furent pris. 

Quelques jours plus tard, grand soulagement,  le résultat montrait des cellules atypiques mais pas de cellules cancéreuses.

Toutefois, un groupe de 5 spécialistes, trois gynécologues et les deux radiologues estimaient que par prudence, il valait mieux enlever  la calcification,  afin d’éviter qu’un « vrai » cancer du sein ne s’établisse.

Je me suis donc fait opérer en mars 2015 sans me soucier. Toutefois, le résultat histologique montrait clairement que la micro calcification était maligne.

J’avais le choix entre une deuxième opération, avec par après des séances de radiothérapie ou de me faire enlever le tissu intégral du sein afin d’éviter la radiothérapie.

Cette décision n’a pas été chose facile. Mille pensées me passaient par la tête. …je pensais à ma famille, mes enfants. Ma vie a été perturbée d’un moment à l’autre.

Je voulais surtout faire le bon choix…hélas, pour moi le « bon choix » n’existait pas et j’ai réalisé que ma vie ne serait plus comme avant.

A l’extérieur, je suis restée plutôt discrète sur mon choix de traitement, je ne voulais pas partager ma maladie et mes douleurs émotionnelles,  excepté quelques amies et ma famille étroite qui tous m’ont fortement soutenue, étaient au courant.

Je n’étais pas intéressée à entendre les conseils de connaissances ou d’amies, à part de celles qui auparavant avaient également souffert d’un cancer de sein.  Leur avis a été fort précieux pour moi et d’une grande aide. 

De même la visite à l’hôpital de l’infirmière spécialisée, une« breast care nurse », m’a vivement aidée….ses conseils et sa sensibilité humaine m’ont extrêmement soutenue durant cette douloureuse période.

Tous les jours,  j’ai fait la promenade avec mon chien que j’avais récupéré d’un refuge et dont personne n’en voulait.  Il est devenu « ma thérapie » : Je travaillais avec lui afin de le socialiser. Ensemble, nous étions comme un binôme.

IMG_7742.JPG

La course à pied que je pratiquais plusieurs fois par semaine et autorisée à nouveau6 semaines après la deuxième intervention, me permettait finalement de retrouver peu à peu ma paix intérieure. 

A ce jour, je suis en train d’élaborer un tatouage pour couvrir ma cicatrice. J’ai visité plusieurs studios, je suis toujours en réflexion sur le motif final,  je ne veux surtout rien laisser au hasard.....c’est mon corps, il m’appartient.  

Le diagnostic en 2014 fut un choc, je l’avoue. Mais au fil de ces trois ans, j’ai fait des rencontres et des expériences tellement émouvantes et chaleureuses ! Finalement c’est le cancer du sein qui m’a permis de les faire !  Hasard ou non ?

Durant cette douloureuse période de ma vie, des portes se sont fermées, d’autres se sont ouvertes. 

Aujourd’hui,  je suis guérie, je passe aux contrôle tous les six mois, non pas pour m’inquiéter mais pour m’assurer que je suis guérie.  Les moments de tristesse se sont estompés doucement, ils ne se manifestent quasiment plus.

Je suis reconnaissante d’être en bonne santé et je savoure ma vie sans me soucier du lendemain. 

Ce n’est que le moment présent qui compte.

N’oubliez surtout pas de faire votre prévention de cancer du sein...

....elle peut sauver des vies.

 

Marie                       

ENTRE LE COMBAT ET L’éclat de vie

Lors de mon combat contre le crabe, j’ai tenu un journal.

Il était mon exutoire.

Quelques temps après la fin de mes traitements, j’ai ressenti le besoin de le partager.

Je pensais que faire découvrir la manière dont j’avais traversé cet océan rugissant avec toutes les difficultés associées, toutes les émotions fortes par lesquelles j’étais passée, pourrait peut-être aider des personnes à poursuivre leur voyage éprouvant vers une destination inconnue.

J’ai douté de cette initiative jusqu’au jour où une amie proche à laquelle j’avais offert mon journal me persuade de l’impact positif que représentait mon idée.

Suite à la publication, j’ai rencontré des personnes qui m’ont dit avoir trouvé de la force dans la lecture de mon journal. J’en ai été fortement touchée et cela m’a incitée à laisser s’épanouir une passion insoupçonnée : l’écriture.

C’est ainsi que trois autres livres ont vu le jour. Toujours avec l’intention d’apporter du positif et du courage à des personnes qui traversent une période douloureuse.

Le second livre paru après mon journal est un recueil de textes dans lequel je libère mes émotions ressenties durant la maladie.

Le troisième est un témoignage de vie.

En conflit avec la vie je suis partie au Japon afin de parcourir à pied les 1200 km du chemin des 88 temples sacrés sur l’île de Shikoku. Une véritable leçon de vie qui m’a guidée vers un degré d’harmonie et de paix intérieure exceptionnel. Je démontre que la marche au long cours est une véritable thérapie. Elle soigne les bleus de l’âme et épure l’esprit troublé.

Le quatrième retrace, à travers ma propre expérience, l’ascension du Breithorn par la Cordée de Solidarité.

En 2011 Europa Donna Luxembourg m’a donné l’opportunité de participer à la seconde Cordée de Solidarité à Zermatt. Nous étions 100 femmes de différents pays, toutes touchées par le cancer du sein, à partir à la conquête du Breithorn qui culmine à 4164 m d’altitude.

IMG_8914.JPG

En plus d’être confrontées à la raréfaction de l’oxygène et de devoir nous adapter à la marche avec les crampons, nous avons subi les assauts d’une tempête.

Nous avons dû booster notre endurance, déployer tout notre courage, toute notre volonté, toute notre détermination pour atteindre le sommet.

Il m’a fallu un certain temps pour me remettre de mes émotions tellement cette aventure exceptionnelle était émouvante.  

Un beau jour j’ai éprouvé le besoin profond de partager le récit de cette ascension.

Il me paraissait important de parler du succès de ce défi audacieux relevé par la Cordée de Solidarité.

Il apporte courage et soutien.

Il donne la force de combattre.

Il est porteur d’espoir.

Il démontre qu’il est possible de vivre pleinement après avoir surmonté un cancer du sein.

Il est source de confiance en l’avenir.

Il représente l’éclat de la vie.

 

Marie-France Miyama

Photo : Daniela Pfaltz

Pour commander les livres :

Europadonna

Editions DEMDEL

SURMONTER MES PEURS M’ONT DONNé de la force

Je suis agée de 57 ans et en juillet après ma mammographie j’ai eu l’appel de mon gynécologue qui m’a renversée.

Puis tout le dépistage a commencé :

- seconde mammographie, échographie

- biopsie

Puis attendre 3 semaines pour les résultats.

Sachant que l’attente serait longue, il fallait que je fasse quelque chose pour surmonter ma peur de tout ce qui pourrait venir après.

La première chose que j’ai faite,  faire un tour à Vianden et prendre le « Sessellift ».

Comme j’avais toujours une peur bleue de prendre l’avion, j’ai décidé de me rendre à Vienne en avion.

Donc le 10 août, j’ai réservé mes billets d’avion et mon hôtel sur internet et le 14 août à 9 heures j’étais assise dans la Fokker direction Vienne. Les quatre jours que j’y ai passé toute seule étaient super et on voit de quoi on est capable.

Après l’opération il y a encore  une fois fallu attendre 3 semaines pour voir quelle thérapie serait adaptée.

Ce voyage m’a donné de la force.

Pour surmonter ma peur j’ai fait des choses que je n’aurais peut-être pas faites si je n’avais pas eu ce diagnostic!

 

Quelques souvenirs de Vienne

 

Mes hobbys sont tricoter, lire et passer du temps dans la nature.

Souvent,je me rends à Remich pour marcher sur l’esplanade et puis je vais boire un choky à la brasserie « Um Schëff ».

J’espère que mon témoignage aidera l’une ou l’autre de vous.

Bien à vous et bon courage.

 

Anonyme

 

 

 

 

 

LA VIE EN COULEURS

Au mois d’octobre 2017,on a diagnostiqué

un cancer du sein, triple négatif, grade 3.

Au programme: mammectomie, chimiothérapie et radiothérapie.

J’étais prête, prête pour combattre ce crabe!!!!!!!!!!

Des mois de faiblesse, de fatigue, d’angoisse, de cris, de pleurs, de tristesse, de douleurs, d’effets secondaires ... mais aussi des mois remplis d’amour, de rire, de petites victoires, de soutien, d’acceptation, de patience et de créativité.

Durant tout mon chemin parcouru, j’ai appris à être patiente, endurante et tolérante.

la vie en couleurs.JPG

La créativité m’a aidé à surmonter mon combat contre la maladie.

Je pouvais oublier ces moments difficiles.

J’ai fini mes traitements, fin mai 2018.

Durant tous ces mois de combat, j’ai appris beaucoup sur moi même, ce que j’ai besoin,

ce qui me fait du bien .

J’ai appris à dire NON et à être fidèle à moi même, mes attentes, mes désirs...

les couleurs de la vie.jpeg

Le cancer m’a changé à l’extérieur mais aussi à l’intérieur.

Même, si ce parcours a été dur et que j’ai encore des effets secondaires de tous mes traitements, je ne regrette pas le chemin parcouru.

Je savoure la vie avec tous ces petits moments de bonheurs.

Mireille

Témoignage d'Anna : Ma maladie m'a fait prendre conscience

Anna a eu le diagnostic d’un cancer du sein en novembre 2018. Depuis, elle voit les choses autrement.

Une femme énergique et positive, qui a envie de partager son vécu et de donner de l’espoir aux femmes concernées.

IMG_5402.jpg

Merci pour son partage et la confiance qu’elle donne au Blog.

Découvrez son témoignage :

L. Da Silva : Comment avez-vous vécu le moment du diagnostic ?

Anna : Ça a été un moment très difficile à vivre, surtout lorsqu’on attend les résultats de la première biopsie, avant que le diagnostic ne tombe. Ensuite, passé le choc du diagnostic, il faut affronter les lourds traitements et l’opération. Il faut s’armer de courage et croire en des jours meilleurs. Heureusement, j’étais très entourée par mon mari, ma famille et belle-famille, et mes amis.

L.Da Silva : Quel était votre préoccupation principale ? ( santé, travail..etc famille..)

Anna : J’avais plusieurs préoccupations. La première était la santé, car on ne sait jamais si on va bien répondre aux traitements. Plein de choses se bousculaient dans ma tête (souvent, pour ne pas dire toujours, négatives). Ensuite, le travail, que j’ai dû arrêter pendant 9 mois.

closeup-person-holding-bills-calculating-them_1262-16057.jpg

En tant qu’indépendante, c’est difficile de devoir dire non aux clients et de gérer les soucis administratifs et financiers.

Je conseille à tout indépendant de s’inscrire à titre volontaire à la mutualité des employeurs avant le 31 décembre de l’année en cours. Cela allégera les cotisations sociales et accélérera le payement des indemnités de maladie. Actuellement je travaille à 100% , parce que malheureusement les indépendants n’ont pas le droit au congé thérapeutique à mi-temps.

L. Da Silva : Quels conseils/messages donneriez-vous aux femmes par rapport à votre expérience ?

Anna : C’est difficile de donner des conseils qu’on n’arrive pas à appliquer à soi-même (LOL). Je dirais qu’il faut une bonne dose de courage pour affronter non seulement physiquement, mais aussi psychologiquement tout ce qui nous attend. Mais ce qu’il faut, c’est faire confiance à l’équipe oncologique (médecins et infirmiers, psychologues, kinés, esthéticienne, etc.) qui sont là pour nous aider.

Fotolia_143998209_M.jpg

J’invite les malades à ne pas rester seuls, à ne pas hésiter à se faire aider.

Pour se détendre tout en étant entourés, ils peuvent également participer aux ateliers de relaxation, au blog café, aux ateliers oncologiques.

Ils peuvent également contacter les associations d’aide aux personnes atteintes de cancer qui proposent pléthore de programmes (sport, psycho-social, beauté, etc.), pour reprendre confiance en soi, améliorer la qualité de vie et se sentir mieux.

L. Da Silva : Comment allez-vous aujourd'hui ?

Anna : je vais bien. Je prends des hormones et une chimiothérapie par voie orale. Globalement, je me sens bien. J’ai quelques autres soucis de santé, mais j’espère que tout va bien vite rentrer dans l’ordre.

L. Da Silva : Avez-vous des projets ?

Anna : Oui ! Mon plus grand projet, auquel j’ai eu le temps de penser lors de ces 9 mois d’arrêt-maladie, c’est la création d’une e-boutique de produits bio, sains et naturels. Ma maladie m’a fait prendre conscience que si on veut vivre en bonne santé, il faut être à l’écoute de son corps, bouger, se nourrir correctement et utiliser des produits sains.

IMAGE_19.jpeg

Mon e-boutique est en ligne depuis le 16 septembre.

Elle propose des produits de soin et d’hygiène, de maquillage, des articles pour enfants, articles ménagers, etc.

IMAGE_22.jpeg

L’offre va s’étoffer au fil des mois. Les débuts sont laborieux, mais avec de la persévérance, on arrive à tout !



L. Da Silva : Quel est votre plus grand souhait ?

Anna : Mon plus grand souhait est que le cancer puisse un jour être considéré comme une maladie parmi tant d’autres. Que tout le monde puisse en guérir avec des traitements plus ciblés et de moins en moins lourds. Mes pensées accompagnent tous les malades.

276898-P5OLKB-701.jpg

Je leur envoie plein d’ondes positives.

Pour plus d’informations sur les produits de l’e- boutique : https://www.timetobeo.com/

TémoignageNovember 25, 2019








TÉMOIGNAGES DE PATIENTES CONCERNÉES PAR LE CANCER DU SEIN

A l'occasion d'Octobre rose, le Groupe sein du CHL Kriibszentrum propose ce 3. Webinar sur des témoignages de deux patientes concernées par le cancer du sein .

Laura Da Silva, infirmière, rédactrice du blog et conseillère en image accueille à la 3. table ronde :

  • Aurélie, patiente concernée par le cancer du sein

  • Anne, patiente concernée par le cancer du sein

  • Mme Vanessa Grandjean, psychologue du groupe sein CHL

Le parcours du cancer du sein est un parcours parfois plus ou moins long et lourd. Pour savoir le ressenti de ce parcours, Aurélie et Anne ont parlé sur leur vécu et traitements lors de leur parcours.

Le Kriibszentrum et le groupe sein du CHL les remercient pour ce témoignage qui aidera certainement beaucoup de femmes concernées.

Un webinar à ne pas râter .

Découvrez :



 UNE VRAIE LEçon de vie

« Un combat ne se gagne pas seule », ce sont les mots de Madame H.E.S.G. , qui offre ici une vraie leçon de vie.

Cette patiente hospitalisée depuis 15 jours démontre par son témoignage émouvant du combat contre le cancer du sein, l’impact immense que les soignants ont sur le vécu de la maladie.

Artiste peintre, elle décide de s’exprimer à sa façon et de faire de son combat contre le cancer du sein un tableau .

Mais pas n’importe lequel.

Une œuvre participative avec chaque membre de l’équipe en oncologie, 36 exactement.

Un tableau né dans une chambre d’hôpital, grâce à chaque petit coup de pinceau initié et guidé par l’artiste peintre.

J’ai conscience maintenant, que j’aurais pu mourir…

Une femme décide de se battre , oui, mais pas seule….

car pour elle

une victoire c’est un travail d’équipe.

Découvrez :